Festival des Templiers 2021 : un come-back réussi
Salut les copains. Comme vous le savez le Festival des Templiers s’est tenu à Millau du 21 au 24 octobre dernier. Trail Session Magazine était de la partie et a eu la chance de participer à cet évènement qui a tenu toutes ses promesses.
Retrouvez dans ces quelques lignes ce qu’il s’est passé là-bas et découvrez le Journal de bord de Romain retraçant ces trois jours passés sur place.
Les vidéos du Festival des Templiers 2021
Vidéo du vendredi
Vidéo du samedi
Vidéo du dimanche
Le Festival des Templiers, un événement authentique
Tout d’abord revenons un peu sur l’historique de l’évènement.
Le Festival des Templiers n’est autre que la première course de Trail Running organisée en France en 1995. À cette époque, tout se passait du côté de Saint Eulalie de Cernon, avant de déménager à Nant en 1997, puis à Millau en 2009.
A ce jour, il est considéré comme l’un des évènement les plus festifs et majestueux de ce type. Il est organisé sur un territoire préservé magnifique et il met en avant des valeurs ultra importantes comme l’écologie.
Un festival qui pense à tout le monde
Ses 11 parcours diversifiés rassemblent pas loin de 12 000 coureurs qui, en plus de pouvoir courir, peuvent profiter d’un salon du trail running.
Ce salon ultra complet rassemble une multitude de marques internationales, de partenaires locaux et artisanaux et de courses nationales et internationales.
Que ce soit avant, pendant ou après les courses, tout est prévu pour pouvoir se restaurer bien comme il faut. Libre à vous de porter votre dévolu sur un plat de pâtes, un aligot saucisse, une bière locale ou un sandwich avec une charcuterie de dingue.
Quoi qu’il en soit, que vous soyez là-bas pour courir, pour encourager un proche, ou pour découvrir la région, cet évènement transpire l’authenticité et ravira à coup sûr la majorité d’entre vous.
Rétrospective de cette édition 2021
Voilà maintenant deux années que le Festival n’a pas connu un format traditionnel.
En 2019, les conditions météorologiques avaient empêché le bon déroulé de la Grande Course du dimanche, et en 2020 c’est la pandémie qui avait tout bonnement annulé l’intégralité du Festival.
Cette année rien de tout ça… La covid 19 et la tempête sont restées tranquillement dans leur coin et le festival a pu se tenir comme il se doit.
Ce que l’on peut affirmer aisément est que cette édition 2021 a tenu toutes ses promesses.
Tout était réuni à Millau pour passer un weekend mémorable et extraordinaire. Que vous vous retrouviez au départ de l’une de épreuves, aux abords de l’arche d’arrivée, au beau milieu du salon du trail ou à courir sur l’un des chemins des Grands Causses, vous avez forcément passé un moment au top.
Les faits et anecdotes du Festival des Templiers
Cette édition 2021 a été témoin de nombreux faits et anecdotes que nous avons essayé de répertorier pour vous.
1- Théo le Boudec, la révélation espoir qui a remporté l’Intégrale des Causses à 20 ans.
2- Vincent VIET était en feu sur l’Endurance Trail, de ce fait quoi de plus normal que de finir sur la plus haute marche du podium de cette épreuve.
3- Mathilde SAGNES intouchable sur la VO2 TRAIL avec 15 min d’avance sur la concurrence.
4- Jonathan ALBON, un champion du monde qui enchaine les victoires et qui concrétise sa suprématie en 2021 sur le Grand Trail des Templiers.
5- Sébastien SPEHLER était déterminé et a tout tenté pour rattraper J.ALBON. Il n’a rien à regretter tant il a tout donné, quel dommage que tant d’efforts n’aient pas payé pour lui.
Benoit CORI, le retour…
6- Benoit CORI, le mec sympa que tu vois pas depuis 2 ans, qui parle d’arrêt complet de la compétition et qui finit 3 ème du Grand Trail. Mais quelle machine de guerre celui-là.
7- La célébration de la dixième et dernière année professionnelle de l’extraordinaire Nathalie MAUCLAIR sur le Grand Trail.
8- Seconde victoire de Ruth CROFT sur le Grand Trail avec une 21 ème place au scratch bien méritée.
9- Pascal Moreau, le seul finisher à avoir participé aux 25 éditions du Grand Trail des Templiers
10- Passage de témoin de grand patron de l’équipe de France de trail effectué comme il se doit entre Philippe PROPAGE et Adrien SEGURET.
11- Claude Dartois plus connu sous le nom de Claude de KohLanta, est officiellement le chouchou du public.
12- Millau a fait du bruit, les trailers se sont enfin retrouvés et franchement ça a fait un bien de dingue.
Retrouvez les classements complets et détaillés de toutes les épreuves du Festival ici : Lien
FESTIVAL DES TEMPLIERS 2021 ️- Journal de Bord de notre Rédacteur Romain
C’est avec un réel plaisir et une joie immense que j’ai pu participer cette année au Festival des Templiers en tant que Reporter Coureur pour Trail Session Magazine.
Retrouvez dans ces quelques lignes le récit de mon week-end passé du côté de Millau.
Cette histoire reste certes un peu personnelle et ne reflète en rien celle de chaque participant, mais c’est avec plaisir que je la partage avec ceux que ça intéresse et qui sont prêts à la lire.
Jour 1 : L’arrivée sur Millau
Me voilà donc arrivé en cette fin d’après-midi du vendredi sur Millau.
Ma première tâche fut d’arpenter en long en large et en travers le salon du Trail.
Ce salon c’est la Mecque du Trailler, tout y est fait pour craquer sur un produit dernier cri de Trail Running, sur une spécialité locale ou pour cocher une date sur une future course qui vient y faire sa promotion.
Là-bas, tu y croises le trailer amateur, l’athlète de haut niveau qui représente une marque ultra connue, ou encore Claude de Kohlanta.
C’est le genre d’endroit où tu peux dilapider ton PEL en marchant même pas un kilomètre… Franchement, c’est un pur kif pour les amoureux du Running, du Trail et des bons produits locaux.
Le « cérémonial » de veille de course
Lors de cette petite visite, j’en profite pour récupérer mon dossard pour la course du dimanche. J’y croise également deux,trois connaissances et j’échange quelques mots avec quelques athlètes et professionnels présents sur le salon.
Le fait d’être là le vendredi me permet également d’aller encourager, applaudir et féliciter les potes qui courent sur l’Intégrale des Causses (60km) et sur l’Endurance Trail (108km). Ces derniers ont vraiment assuré, je leur adresse une nouvelle fois un grand bravo.
Petit repérage de parcours pour dégourdir les jambes
Le temps étant de la partie, j’en profite pour me caler un dernier entraînement d’une petite heure dans le but de repérer les derniers kilomètres de ma course.
Quel plaisir de profiter de ces beaux chemins en cette fin de journée. Le magnifique coucher de soleil sur Millau et sur son célèbre viaduc sonnera le terme de cette sortie appréciable.
Mine de rien, j’ai déjà enchainé pas mal de choses aujourd’hui, je prends donc la direction du restau après une bonne douche et je m’enfile une grosse pizza 4 fromages accompagnée d’un bon verre de vin rouge, car comme vous le savez tous, il faut faire super attention à l’alimentation à l’approche de l’échéance tant attendue.
Suite à ça, retour à l’hôtel et dodo pour recharger les batteries.
Jour 2 : Le festival bat son plein, profitons-en un petit peu
Les mots d’ordre du samedi matin sont « tranquillité et repos ».
L’idée est de profiter de cette matinée pour prendre un bon petit déj, poster des news sur la page de Trail Session, faire le récap de mes besoins pour la course et prendre un peu de temps pour m’occuper de moi. Vers midi, je prends la direction du site de la course afin de déjeuner et de repartir en mode ballade, salon, applaudissements des coureurs du jour et papotage avec les connaissances croisées par-ci par-là.
Le Village / Salon du Festival des Templiers
Au final, mon samedi aprèm fut du même acabit que l’après-midi de la veille, tout en tachant d’être un peu plus sage car le lendemain j’ai « ma course » et j’aimerais bien y arriver pas trop fatigué.
En fin d’après-midi, je retrouve mes potes arrivés depuis peu avec leurs dossards fraîchement récupérés. Chacun part déposer ses affaires à son hôtel et lorsque 20H00 approche, on file au restau pour notre dernier repas d’avant course.
Une nouvelle fois n’est pas coutume, on ne fait pas dans la grande gastronomie, ce soir ce sera pizza montagnarde. 2 pizzas en 2 jours, tout va bien se passer… Enfin, je l’espère.
Une fois de retour à l’hôtel, je peaufine la préparation de mon matériel de course puis je me couche vers 21H45 car le réveil doit sonner dans quelques heures.
Jour 3 : Le jour J – Rendez-vous avec les Templiers
03H40, mon réveil sonne et me sort d’une nuit légèrement agitée à cause du stress occasionné à l’approche de la course.
Après une bonne douche, j’avale deux cafés, deux pompotes et un petit gâteau. J’enfile ma tenue pour la course et je retrouve mes potes en bas de l’hôtel vers 04H30 pour regagner la ligne de départ située non loin de là. 20 minutes plus tard, nous y sommes enfin et ça s’agite déjà bien comme il faut.
On prend deux, trois photos et on retrouve d’autres connaissances avec qui on échange avant de prendre le départ de notre rendez-vous du jour.
05H15 approche, on y est presque… Le Big Boss de la course nous lit un discours que lui seul est capable d’écrire tant les mots qu’il a choisi sont sélectionnés méticuleusement.
Me concernant, j’ai zéro pression, je me sens même hyper serein. Le son d’Era résonne enfin sur la ligne de départ, les fumigènes s’allument et après quelques couplets, on nous lâche enfin pour 80km et 3600md+ dans les Grands Causses.
Un départ surréaliste pour ce Festival des Templiers 2021 !
A coup sûr, ce départ restera gravé à jamais dans ma mémoire. Il n’est que 05H15 et il y a un monde de dingue pour nous encourager sous ces multiples fumigènes rouges qui éclairent la nuit de mille feux.
C’est vraiment surréaliste, non mais quelle clameur, quelle ambiance ! Je souhaite à chaque trailer de vivre un tel départ tant cet instant est mémorable.
Après quelques centaines de mètres, nous nous retrouvons plus qu’entre coureurs, frontales vissées sur la tête, prêts à parcourir 80 bornes coûte que coûte.
Les 2-3 premiers kilomètres se faisant sur une longue route plate, cela permet au peloton de s’étendre et à chacun de trouver sa place.
C’est après une dizaine de minutes que la première montée du jour se dresse devant nous. Me sentant plutôt à l’aise, je me décide de l’aborder en marche rapide avec une bonne détermination, ce qui me permet de gratter pas mal de places.
« Courir de nuit apaise ma course »
De tout temps, j’ai toujours aimé courir la nuit, et ce départ de course me le confirme une nouvelle fois… J’ai la nette impression que la nuit apaise ma course, que je me rends moins compte du danger et des risques que je prends et cela me fait avancer un peu plus vite. Simple impression ou réalité je n’en sais rien, mais ce qui est sûr c’est que j’apprécie ce genre de moment.
Une fois le haut de la première bosse atteint, nous basculons sur des sections plates et des descentes qui nous permettent de remettre un peu de rythme.
Bizarrement, je me retrouve rapidement seul, un peu comme si un écart s’était déjà creusé avec les trailers de devant et avec mes poursuivants.
Au final, cela n’est pas plus mal, j’ai de ce fait plus de facilité à apercevoir les trous, cailloux et racines que je rencontre sur mon chemin et cela me permet de prendre moins de risques tout en gardant une bonne allure.
Festival des Templiers 2021 : mes sensations de début de course…
Au bout de 01H56 de course, je me retrouve au premier ravito situé à 21.5km et 735md+ du départ. Cela a été bien plus vite que ce que j’avais imaginé dans mes calculs. Je refais rapidement le plein d’eau et je repars sur ce même rythme qui semble me convenir pas trop mal.
Les 13km et 700md+ suivants se déroulent tout aussi bien que la première section. J’atteins donc le second ravito situé au 35ème kilomètre en 03H27. Les sensations sont toujours là, le jour se lève doucement et je retire ma frontale pour la ranger dans mon sac.
Mon pote Martial me rejoint sur ce ravito, il en repart même avant moi ce qui me semble plutôt logique vu qu’il est meilleur que moi. A ce moment-là, je me prends une soupe pour me réhydrater et je me demande si c’est normal de m’être retrouvé devant lui durant tout ce temps. Serais-je parti trop vite? Je ne pense pas.
Être raisonnable et bien s’alimenter
J’ai bien veillé à m’alimenter comme il faut et je n’ai pas forcé de peur de me mettre en sur régime. Je repars donc du ravito en arrêtant de penser à ça et je me remets sur mon rythme de croisière.
Peu de temps après, je passe le marathon en 04H43 ce qui est assez logique vu qu’il y a déjà 1600md+ sur cette distance-là. Pour l’heure, nous avons parcouru un peu plus de la moitié de la course et il nous reste environ 40km et 2000md+ à parcourir, ce qui veut dire que si je ne craque pas, je devrais pouvoir sortir un temps au-delà de mes espérances.
Les kilomètres défilent sur ma montre et sous mes pas, tout se passe pour le mieux et je ne vois pas trop le temps passer. Franchement, je suis vraiment pas mal du tout, hormis un petit passage à vide entre le 55ème et le 63ème km à cause d’un mal de ventre qui m’empêche de dérouler comme je le souhaite, tout est au top.
Cela fait 07H30 que je cours, mon mal de bide s’est enfin estompé, j’ai quitté ma veste depuis une heure environ et je file vers Massebiau où David est censé se trouver pour nous faire un petit coucou.
Des encouragements qui remontent le moral et la clé pour bien finir
Arrivé là-bas après 08H08 de balade, j’entends enfin ses encouragements qui font du bien au moral.
Il me dit que j’ai une bonne mine et que je fais une super course pour le moment, ce qui je l’avoue me rassure un petit peu. Pendant que je m’hydrate et que je remplis mes flasques, je l’interroge sur la fin du parcours que je ne connais pas très bien.
Là, il me dit que je dois garder le rythme sur les deux grosses montées qui arrivent et que je dois courir sur les crêtes car c’est assez roulant.
Me voilà donc parti pour la montée de la Cade sous un beau soleil, accompagné d’un petit vent frais, qui permet de ne pas monter en température malgré l’effort fourni. Je tache de garder un bon rythme dans l’ascension et je relance sur les parties plates de la crête comme David me l’avait suggéré.
Cela me permet de regagner l’auberge du Cade en 41 min malgré les 500m que je viens de grimper, visiblement la forme est toujours là.
A l’auberge, c’est ambiance cocooning. Le feu de la cheminée nous accueille, mais je n’en profite pas trop pour autant car mine de rien je ne suis pas trop là pour ça… Mon ravito se compose de pâtes de fruit et de « Balisto ». C’est marrant, j’avais ce souvenir des « Balisto » lorsque j’étais passé ici en 2014 lors de l’endurance trail. 7 ans plus tard, il y a toujours des « Balisto » et je trouve ça plutôt amusant.
Des ravitos en toute sérénité
Je recharge mes flasques en eau et bois un bon verre de coca, un bénévole me parle et me dit que je suis bien parti pour finir ma course en 11H00. Sereinement, je me reprends un verre de coca, je le regarde en souriant et là il me dit que j’ai l’air frais et qu’il ne tient qu’à moi de faire ce qu’il faut pour me rapprocher des 10H00. Les calculs se font rapidement dans ma tête. Il me reste 10km 400md+ et 800md-, les 10H00 et des poussières sont donc à portée de main.
J’enchaine donc une descente de 400md- en single avec un mec juste derrière moi. Ce dernier me met un peu la pression, cela me fait donc accélérer et prendre quelques risques, mais au final, ça paye plutôt bien car on descend cette section pas si simple que ça en une vingtaine de minutes. Franchement, je pense que seul, je serais allé beaucoup moins vite que ça, ce mec m’a vraiment fait gagner du temps, j’en suis persuadé.
S’en suit ensuite la montée de la fameuse Pouncho. Je raccroche lors des premiers mètres deux autres participants qui discutent entre eux et qui disent qu’elle se fait en une vingtaine de minutes, ce qui me va plutôt bien et qui me pousse à les suivre sans rien lâcher. Une fois arrivé en haut, je me retrouve face à une grande antenne, je monte les dernières marches et j’attaque enfin la dernière descente.
Après quelques sections plates, je me retrouve vite dans une forêt que je reconnais rapidement. Il s’agit en fait des chemins que j’ai foulé le vendredi lors de mon dernier entrainement. Je regarde ma montre, cela fait 09h45 que je cours, j’ai donc un petit quart d’heure pour accrocher un chrono en 10H00.
Rester attentif pour un chrono inespéré et un sentiment particulier !
Ces chemins je les connais, je sais que ça descend bien mais qu’au final il n’y a pas de difficultés majeures. Je dois juste rester attentif, assurer mes appuis et tout se passera bien. J’arrive donc assez rapidement dans la magnifique grotte du hibou que je traverse les yeux grands ouverts tant il fait noir à l’intérieur.
Une fois ressorti de l’obscurité, je me lance dans les deux derniers kilomètres de la course. Je traverse la route, je m’engouffre dans la forêt en prenant le dernier single du parcours et je me retrouve rapidement sur des terrains qui sont un peu moins pentus.
09H58 de course à ma montre… J’accélère encore et encore, le son de la musique et la voix du speaker se distingue de plus en plus, ça y est j’arrive enfin. Le plateau où se trouve la ligne d’arrivée s’offre à moi, j’y déboule à toute vitesse et y double même un autre concurrent qui n’en peut plus dans les 200 derniers mètres.
Je monte les dernières marches au pas de course en faisant bien attention de ne pas tomber et me voilà sur la dernière ligne droite le point serré avec une satisfaction que je n’avais pas ressenti depuis un long moment.
Je passe l’arche d’arrivée tant attendu en 09h59’11’’, je suis Finisherrrrr !!!
Un Festival des Templiers 2021 accompli après des années de soucis physiques et opérations !
Pour tout vous dire, j’avais prévu 11H15 quelques jours plus tôt et mes potes m’avait dit que ça se jouerait en 12H00 environ. Non mais c’est quoi ce chrono… A quel moment je mets moins de 10H00 sur la Grande Course des Templiers moi ?
La sensation qui m’envahit à ce moment-là est indescriptible et ma première envie est de vite appeler mes proches, d’entendre ma chérie et mon fils au téléphone et de partager cet instant avec eux.
Quelle joie, quel bonheur, cet instant restera à tout jamais gravé dans mon esprit. En ce 24 octobre 2021, j’ai réussi à boucler le Grand Trail des Templiers en un temps plutôt propre malgré tous les soucis physiques et opérations que j’ai subis ces dernières années. Je n’ai vraiment pas honte à le dire, je suis plutôt fier de moi.
Remerciements après ce Festival des Templiers 2021
Pour clore ce récit, je tiens à adresser un grand MERCI à l’organisation des Templiers, aux bénévoles, aux spectateurs et aux copains présents ce jour-là.
Je remercie également bien évidement Trail Session Magazine ainsi qu’Odile et Gilles sans qui tout cela n’aurait été possible de cette manière là.
Cet évènement, c’est la perfection en soi tant il est réglé comme un avion de chasse. C’est simple, que l’on soit coureur ou non, on y retrouve tout ce qu’il faut et il n’y manque rien. Alors si vous ne connaissez pas cette course, n’hésitez pas à tenter l’aventure, vous ne le regretterez pas.
Retrouvez toutes les infos nécessaires de cet évènement sur le site de la course